La seule certitude de ce mardi est la «communication» du président du Conseil, Giuseppe Conte, sur la situation politique actuelle, à 15 heures devant le Sénat. Pour la suite, le scénario de la crise italienne n’est qu’une feuille vierge. Ni le vote de la motion de défiance, présentée le 9 août dernier par la Ligue mais non encore inscrite au calendrier parlementaire, ni la communication du premier ministre à la Chambre des députés le lendemain ne sont plus certains.