En accusant l’opposition de soutenir un anarchiste violent, le nouvel homme fort de Fratelli d’Italia, le parti de la première ministre Giorgia Meloni, veut détourner l’attention d’une situation pénitentiaire délicate que le gouvernement italien peine à gérer. «Je veux savoir si la gauche se tient du côté de l’Etat ou du côté des terroristes», lançait mardi le parlementaire Giovanni Donzelli, en s’adressant à des confrères ayant rendu visite à un condamné pour terrorisme.