Les années précédentes, ils étaient entre 1500 et 2000. Dimanche à l’aube, environ 200 fidèles ont bravé le feu des obus russes pour assister à la liturgie de la Pâque orthodoxe dans la cathédrale diocésaine de l’Annonciation, à Kharkiv (nord-est de l’Ukraine). Une ville toujours bombardée par les Russes. Ainsi, quatre dépôts de munitions ont été frappés ce week-end par l’armée russe, qui cherche à renforcer ses positions dans cette ville, deuxième plus importante d’Ukraine, qui comptait près d’1,5 million d’habitants avant la guerre. En deux mois, près de 70% d’entre eux l’auraient quittée.