«Il a certes pu y avoir des cas, mais ils ne sont pas nombreux», voilà ce que répond d’ordinaire le porte-parole de la Conférence épiscopale espagnole (CEE) Luis Argüello lorsqu’on l’interroge sur les cas de pédocriminalité en son Eglise. Une réserve d’autant plus frappante que la pression ne cesse de croître dans toute l’Europe.