Entre les conflits d’intérêts du Tchèque Andrej Babis qui reçoit des paiements agricoles de l’UE via son groupe Agrofert, ou la corruption persistante en Bulgarie, qui a valu récemment à certains Bulgares d’être sanctionnés par Washington, le nouveau parquet européen, dirigé par l’ex-magistrate anti-corruption roumaine Laura Kovesi, n’aura visiblement pas de mal à trouver des dossiers.