Elles nous rencontrent dans un café installé au cœur de la Genève internationale. Maria et Natalia* ont un message à faire passer. Elles ne veulent pas être considérées comme des complices de Vladimir Poutine, qui a décidé d’envahir l’Ukraine il y a un peu plus d’un an. Dans un français mâtiné d’accent russe, elles portent la voix de l’opposition à la guerre et au maître du Kremlin tout en gardant un certain anonymat. On ne sait jamais.