Michaël Dantinne, professeur à la Faculté de criminologie, droit et science politique de l’Université de Liège (Belgique), réagit au déroulé chaotique du procès des attentats de Bruxelles de mars 2016. Les accusés s’insurgent notamment contre le fait qu’ils doivent se dévêtir et se mettre à genoux devant des policiers lors des fouilles. Les retards s’accumulent.