Un premier ministre en sursis? Le Britannique Boris Johnson a donc survécu, pour l’heure, à la publication du rapport accablant sur le «Partygate», qui désigne désormais ces fêtes tenues à Downing Street durant le confinement. Mais attention: son sort reste suspendu à l’enquête de police qui pourrait encore le pousser vers la sortie. Son sort «ne tient qu’à un fil», titre 20 Minutes, qui reprend les informations fournies par l’Agence France-Presse: «Erreurs de leadership, rassemblements injustifiés, culture de l’alcool au travail… Le dirigeant conservateur et ses services en ont pris pour leur grade dans le rapport de 12 pages écrit par la haute fonctionnaire Sue Gray sur les garden-parties, pots de départ ou fêtes d’anniversaires […] des deux dernières années, qui ont choqué les Britanniques.»