Nicolas Sarkozy espérait avoir convaincu les juges. Appelé à se défendre devant le Tribunal correctionnel de Paris en décembre, l’ancien président français avait rejeté avec force les accusations de «corruption» et de «trafic d’influence» portées contre lui, son ami avocat Thierry Herzog et l’ancien haut magistrat Gilbert Azibert, supposé leur apporter des informations sensibles sur l’affaire Bettencourt, en 2013-2014.