«Une chose suicidaire.» Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres n’a pas mâché ses mots lundi en commentant les deux bombardements sur des infrastructures de la centrale nucléaire de Zaporijjia samedi et dimanche. Ce n’est pas la première fois que le site est visé: lorsqu’ils l’avaient conquise en mars, les soldats russes avaient tiré sur des bâtiments administratifs, et en juillet Moscou avait accusé Kiev d’avoir frappé au drone sur le territoire de la centrale.