Analyse
AbonnéLa nation que Jovenel Moïse, le président assassiné dans la nuit de mardi à mercredi, a laissée est la pire version d’Haïti concevable. Mais des élans, notamment dans la jeunesse, existent et donnent de l’espoir

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La nation que Jovenel Moïse, le président assassiné dans la nuit de mardi à mercredi, a laissée est la pire version d’Haïti concevable. Mais des élans, notamment dans la jeunesse, existent et donnent de l’espoir