Depuis plusieurs jours, Amman exigeait une preuve que son pilote était vivant avant d’envisager de libérer, comme l’exigeait l’EI, une prisonnière irakienne condamnée à mort pour son implication dans des attentats meurtriers en Jordanie en 2005.
L’EI occupe de larges portions de territoire en Irak et en Syrie, où ses djihadistes ont commis de nombreuses exactions, dont des décapitations d’otages, notamment occidentaux. L’ONU accuse l’organisation ultra-radicale sunnite de crimes de guerre et de crimes contre l’Humanité.