Merkel et Macron à Genève pour trouver des réponses à la disruption du monde du travail
Organisation internationale du travail
AbonnéLundi débute à Genève la 108e Conférence internationale du travail, qui verra affluer une quarantaine de chefs d’Etat et de gouvernement, dont la chancelière allemande et le président français. Les enjeux sont clairs: prendre en compte le caractère disruptif de la technologie sur le marché du travail et axer des politiques de l’emploi sur l’humain

«Une paix universelle et durable ne peut être fondée que sur la base de la justice sociale.» Une citation récente d’un responsable politique de la gauche européenne? Non, une phrase tirée du préambule de la Constitution de l’Organisation internationale du travail (OIT), fondée en 1919 dans le cadre du Traité de Versailles et qui garde aujourd’hui encore toute sa pertinence. Les économies sont peut-être dans un cycle positif, mais le monde du travail connaît des disruptions profondes qui vont redéfinir de fond en comble notre environnement professionnel.