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AbonnéAvec un président âgé et une popularité en berne, le parti affronte les élections de mi-mandat en position de faiblesse, déconnecté des préoccupations des Américains. L’ex-président Barack Obama est appelé à la rescousse. Mais le parti ne peut pas échapper à l’autocritique
Ils s’y préparent. Statistiquement, le parti au pouvoir à la Maison-Blanche est le perdant des élections de mi-mandat. Pour les démocrates, actuellement majoritaires dans les deux Chambres du Congrès, le 8 novembre pourrait bien être un jour noir. Ils lâchent donc les chevaux en toute fin de campagne, pour tenter de conjurer le mauvais sort. Avec un atout majeur: Barack Obama. Mais cela ne suffira probablement pas.