«Il n’y a aucune logique à ce système et nous sommes vraiment dans l’inconnu, pour ce qui est de la suite», constate Me Hirbod Dehghani-Azar, qui répertorie les atteintes aux droits humains perpétrés par le régime iranien. «Alors que certains manifestants sont relâchés, d’autres sont arrêtés, et certains mis à l’isolement en vue de leur exécution.» Aucune mise à mort n’a eu lieu depuis maintenant une semaine. Mais alors que certains estiment que la pression internationale a permis de freiner le régime dans son escalade meurtrière, d’autres observent que sur le terrain les manifestants sont réprimés de façon toujours plus violente.