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La politique chinoise du pape durement contestée par les Etats-Unis

Le numéro 2 du Vatican, le cardinal Pietro Parolin, a reçu jeudi le secrétaire d’Etat américain, Mike Pompeo, après les virulentes critiques de ce dernier sur l’accord existant entre le Saint-Siège et Pékin

Réception du secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo (deuxième depuis la droite), jeudi, par le secrétaire d'Etat du Vatican, le cardinal Pietro Parolin (tout à droite) au Vatican, le 1er octobre 2020.  — © EPA/VATICAN MEDIA HANDOUT
Réception du secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo (deuxième depuis la droite), jeudi, par le secrétaire d'Etat du Vatican, le cardinal Pietro Parolin (tout à droite) au Vatican, le 1er octobre 2020.  — © EPA/VATICAN MEDIA HANDOUT

Les tensions de ces derniers jours entre les Etats-Unis et le Vatican se sont relâchées lors d’une rencontre «respectueuse, détendue et cordiale» à Rome, jeudi. Le secrétaire d’Etat du Saint-Siège, le cardinal Pietro Parolin, a reçu le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, après une joute à distance sur les rapports du petit Etat papal avec la Chine. Le refus du pontife de recevoir le diplomate a été lu comme la conséquence de l’irrévérence d’outre-Atlantique. L’affaire est morte dans un laconique communiqué de presse publié par le service de communication de François faisant simplement état d’un entretien d’environ trois quarts d’heure.

Un compromis historique

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