Iran
AbonnéLes présidents russe, iranien et turc se réunissent pour consolider leurs relations. Mais les divisions restent nombreuses, à commencer par la question syrienne

Entre amis, on peut se permettre d’être directs. D’un seul tweet, le guide suprême iranien, Ali Khamenei, semblait doucher mardi les espoirs de son invité: «Une attaque militaire en Syrie serait nuisible pour la Syrie, pour la Turquie et pour la région.» Voilà le président turc averti. Sous-titre: la discussion peut maintenant réellement commencer.