Les otages - un Italien, un Suisse et une Philippine - «sont vivants d’après les éléments en notre possession», notamment grâce à des «contacts avec notre compatriote», a déclaré M. Frattini sans donner plus de détails.

Les rebelles islamistes du groupe Abou Sayyaf ont menacé de décapiter l’un de leurs otages - retenus depuis plus de 70 jours - si l’armée ne se retirait pas de ses positions dans l’île de Jolo, à majorité musulmane.

Mercredi, le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) avait indiqué être sans nouvelles de ses employés depuis le 23 mars, date du dernier contact téléphonique direct.