Témoignage
AbonnéEn séjour à 18 kilomètres de l’une des «zones rouges» du nord de l’Italie, notre journaliste doit composer avec une ambiance plutôt spéciale. Les autorités suisses ne sont pas alarmistes

Mascherine esaurite. «Masques en rupture de stock.» L’affichette jaune est placardée sur la porte d’entrée de la pharmacie, dans la vitrine et au comptoir. C’est à ce type de détail que l’on réalise, ma famille et moi, que cette semaine de vacances dans le nord de l’Italie n’est pas tout à fait comme les autres.