Les Etats-Unis, qui accusent Pyongyang d’être derrière l’attaque, ont riposté en ajoutant vendredi à leur liste noire dix officiels du régime, l’agence nord-coréenne de renseignement ainsi que deux entreprises liées au secteur militaire de la dictature communiste, a détaillé le Trésor.
Déjà largement sanctionnée
Les sanctions, prises en vertu d’un décret du président Obama, «reflètent l’engagement des Etats-Unis de tenir la Corée du Nord pour responsable de ses actions destructives et déstabilisatrices», a plaidé le secrétaire américain au Trésor Jacob Lew, cité dans un communiqué.
«Nous utiliserons un large éventail d’actions pour défendre les entreprises et les citoyens américains et pour se défendre contre les tentatives de saper nos valeurs», a-t-il ajouté.
La Corée du Nord fait déjà l’objet d’une large batterie de sanctions internationales liées à son programme nucléaire controversé.