Xi Jinping: «La Chine approuve une enquête internationale impartiale»
Covid-19
AbonnéL’Assemblée mondiale de la santé s’est ouverte de façon virtuelle lundi. Si nombre d’Etats ont réitéré leur fort soutien à l’OMS, les Etats-Unis l’ont fustigée, soulignant que le «statu quo est intolérable». Le président français, Emmanuel Macron, le martèle: «Nous n’avons pas le droit de nous dérober»

Emmanuel Macron l’a déclaré en ligne: la 73e Assemblée mondiale de la santé (AMS) qui s’est ouverte lundi de façon virtuelle en raison du Covid-19 «est l’une des plus importantes de l’histoire de l’OMS». Le qualificatif n’est sans doute pas galvaudé tant l’agence onusienne basée à Genève est au cœur de toutes les attentes face à une pandémie qui ravage la planète et au carrefour des très fortes pressions engendrées par la géopolitique mondiale du moment. Le président français l’a martelé: «Nous n’avons pas le droit de nous diviser, de nous dérober.» Alors que l’administration de Donald Trump ne cesse de tirer à boulets rouges sur l’institution onusienne, Emmanuel Macron, au même titre que nombre d’Etats européens et africains, a apporté un soutien musclé à l’organisation. La France a ainsi augmenté substantiellement son soutien financier à l’OMS.