La non-publication d’un rapport du Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme (OHCHR) sur les graves violations des droits humains dans le Xinjiang pourrait n’être qu’une péripétie dans la bureaucratie onusienne. Elle produit au contraire le sentiment qu’une grenade a été dégoupillée et qu’on ne sait plus comment s’en débarrasser.