Alors que l’EPFL fête les 50 ans de sa fédéralisation, je me suis prêté à un voyage dans le futur: que pourrait devenir notre école en 2069, lors de son centenaire? Et surtout, de quelle manière l’EPFL, les formations qu’elle offre et les technologies qui sortent de ses laboratoires pourront-ils contribuer à un monde meilleur? A faire en sorte que le bien commun – tel que le décrivait Garrett Hardin dans La Tragédie des communs publié il y a maintenant plus de cinquante ans –, et je pense en particulier au problème du réchauffement climatique, soit relevé tel le défi majeur qu’il est pour l’humanité?