Enfin, le déluge s’est atténué. Ces dernières années, la foire horlogère de Bâle a subi une pluie ininterrompue – et justifiée – de reproches. Ses tarifs exorbitants, l’arrogance et la mégalomanie de ses organisateurs, son manque de cohérence, sa surdité vis-à-vis des besoins des marques… Tout a été matière à critiques. Au point qu’au moment de boucler l’édition 2018, la survie même de la grande fête de la montre semblait remise en question.