Il y a quelques semaines, l’arrivée de l’application ChatGPT mettait en émoi le monde de l’éducation: si les machines savent désormais écrire, que reste-t-il à l’être humain? Si les élèves peuvent s’appuyer sur des générateurs de texte d’une telle puissance, que faut-il encore enseigner? Si la fraude est à deux clics de distance, comment sauver nos systèmes scolaires d’une avalanche de plagiats indétectables?