chronique
AbonnéCHRONIQUE. La politisation de l’économie mondiale n’épargnera pas les patrons de multinationale. A charge pour eux de manier les codes tant diplomatiques qu’entrepreneriaux

En tout cas, ils doivent essayer. Lors d’une conférence récemment à Hongkong, le président d’UBS Colm Kelleher, déclarait: «Nous ne lisons pas la presse américaine, en fait, nous croyons ce que la Chine dit.» Evidemment, cela a fait plaisir en Chine; ailleurs, un peu moins.