Lorsqu’on aborde le thème de l’énergie dans le cadre de la transition écologique, le trilemme «disponible, abordable, durable» revient souvent sur la table. La COP27 ne fait pas exception à la règle, car une source d’énergie ne séduira les décideurs politiques et économiques que si elle est à la fois disponible – donc facile à exploiter –, bon marché – car c’est la première qualité pour les utilisateurs –, et durable – pour s’inscrire dans la ligne de l’Accord de Paris. Mais n’y a-t-il pas d’autres critères, tout aussi importants, à prendre en considération?