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Les BRICS contre le dollar: ce n’est pas pour demain

CHRONIQUE. Pékin, Moscou, Brasilia, New Delhi et Pretoria rêvent d’une monnaie commune pour défier le dollar. Pour notre chroniqueur, ils ignorent qu’une monnaie dépend d’institutions qui doivent être fiables

De gauche à droite le Sud-Africain Cyril Ramaphosa, l'Indien Narendra Modi, le Chinois Xi Jinping, le Russe Vladimir Poutine et le Brésilien Jair Bolsonaro – la photo date d'avant l'élection de Lula. Brasilia, novembre 2019.  — © Eraldo Peres / AP Photo
De gauche à droite le Sud-Africain Cyril Ramaphosa, l'Indien Narendra Modi, le Chinois Xi Jinping, le Russe Vladimir Poutine et le Brésilien Jair Bolsonaro – la photo date d'avant l'élection de Lula. Brasilia, novembre 2019. — © Eraldo Peres / AP Photo

La Chine et la Russie se sont mises d’accord pour régler leurs échanges en renminbi, la monnaie chinoise. Le président brésilien s’est joint à cet accord et pousse pour que les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) mettent fin à la domination du dollar. Dans la foulée, une vingtaine de pays ont indiqué leur souhait de rejoindre les BRICS. Il n’en fallait pas plus pour que réapparaissent les prédictions selon lesquelles cette fois, ça y est, le dollar va tomber de son piédestal. Encore une fois, ces espoirs seront déçus.

Lire aussi: Les pays émergents ne veulent plus dépendre de l’Occident

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