Les champions vivent avec le bon stress, qu’ils nourrissent par la prise de risque
Jeu de tête
AbonnéCHRONIQUE. Le stress n’est ni bon ni mauvais en soi. A haut niveau, il est nécessaire à la performance et doit être alimenté comme un feu intérieur. Les meilleurs sont capables de le sublimer pour faire preuve d’audace
Le stress n’est ni bon ni mauvais en soi, il peut être bon (on l’appelle «eustress») lorsqu’il aide à inspirer, à motiver et à améliorer la performance, ou mauvais (on parle alors de «distress») quand il épuise, rend nerveux et parfois ruine la santé. On a vite compris que le premier influence positivement toute performance alors que le deuxième, au contraire, l’affecte sérieusement.