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Des complotistes aux «emmerdeurs», la France aura du mal à revenir de l’après-covid

OPINION. Il n’y a pas si longtemps, on prenait le risque de passer pour un complotiste si on remettait en question les mesures sanitaires. Désormais, on prend le risque de passer pour un «emmerdeur» si on dit qu’il faut en prendre… L’impopularité et le tabou ont changé de camp

La passation de pouvoir entre Brigitte Bourguignon, à gauche, ministre sortante de la Santé défaite aux législatives, et François Braun, au centre. — © IMAGO/Luc Nobout / IMAGO/IP3press
La passation de pouvoir entre Brigitte Bourguignon, à gauche, ministre sortante de la Santé défaite aux législatives, et François Braun, au centre. — © IMAGO/Luc Nobout / IMAGO/IP3press

En ce début de semaine, à l’Assemblée nationale, le premier vrai sujet du nouveau quinquennat, à régler rapidement avant le gros dossier du pouvoir d’achat, c’était le projet de loi de sécurité sanitaire qui doit permettre de prolonger certaines mesures face au rebond du covid. L’enjeu est de pouvoir continuer à collecter des données sur les tests et les vaccins. C'était aussi celui d’éventuellement pouvoir remettre en place un pass sanitaire aux frontières. Mais les oppositions se sont unies pour faire tomber cet article.

Lire aussi: Le covid offre son premier camouflet parlementaire au nouveau gouvernement français

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