En 1926, Charles-Ferdinand Ramuz publie La Grande Peur dans la montagne, un roman qui raconte la destruction d’un village entier par un éboulement de boue et de rochers. L’écrivain vaudois s’inspire en partie de la réalité – de tout temps, des poches d’eau emprisonnées dans les glaciers ont éclaté – et, en grande partie, de contes et légendes alpins rapportés par les anciens.