C’est l’été, je crois que cette fois tout le monde l’a bien compris. Le vrai. L’été vertical, comme le soleil. L’été qui frappe, qui stoppe, qui s’infiltre par les interstices. L’été chargé du cumulonimbus, qui gonfle avant d’exploser, à intervalles déchaînés. L’été qui assomme et qui ranime, qui endort et qui réveille, dans le même souffle rare et anticyclonique.