L’Unesco, laboratoire de la perestroïka
OPINION
AbonnéOPINION. Notre chroniqueur a vécu de près à Paris, au sein de l’Unesco, un des premiers effets de la «nouvelle pensée» que voulait incarner Mikhaïl Gorbatchev, plus pragmatique qu’idéologique
Publié mardi 6 septembre 2022 à 21:58
Modifié mercredi 7 septembre 2022 à 00:02
Modifié mercredi 7 septembre 2022 à 00:02
Le monde libéral porte le deuil de Mikhaïl Gorbatchev, qui a transformé l’URSS, mis fin à la guerre froide, levé le rideau de fer, rendu la liberté aux pays occupés d’Europe centrale et de l’Est, procédé aux premières mesures de désarmement nucléaire et prôné la coexistence pacifique dans un monde qui aurait renoncé à la violence.
