Publicité

La mémoire incandescente d’Elvis Presley

Il préside le fan-club suisse du King: Christian Pantillon, sexagénaire fribourgeois, était encore adolescent quand son idole est morte. Depuis, il s’applique à perpétuer sa mémoire, jusqu’à se glisser dans ses costumes à franges

Elvis Presley en 1958, pour son titre «Jailhouse Rock». — © DR
Elvis Presley en 1958, pour son titre «Jailhouse Rock». — © DR

Cet été, notre chroniqueuse part à la rencontre de ces Romands et Romandes fans d'artistes d'un autre temps. Une adoration anachronique aussi surprenante que révélatrice d'histoires de vie

Il y a les aficionados de K-pop, du Barça, les fans de mangas. Et puis celles et ceux dont l’idole a disparu il y a des décennies déjà – parfois même avant leur naissance. Des groupies anachroniques, en somme. A qui j’ai demandé, au fil de l’été, de me raconter leurs fantômes et leurs adorations joliment démodées.

Indémodable, rétorquerait Christian Pantillon. Casquette Mercedes vissée sur la tête, ce chauffeur de camion fribourgeois pilote fièrement un autre poids lourd: le fan-club suisse d’Elvis Presley. Si si, il existe. Depuis un demi-siècle.

Cet article vous intéresse?

Ne manquez aucun de nos contenus publiés quotidiennement - abonnez-vous dès maintenant à partir de 9.- CHF le premier mois pour accéder à tous nos articles, dossiers, et analyses.

CONSULTER LES OFFRES

Les bonnes raisons de s’abonner au Temps:

  • Consultez tous les contenus en illimité sur le site et l’application mobile
  • Accédez à l’édition papier en version numérique avant 7 heures du matin
  • Bénéficiez de privilèges exclusifs réservés aux abonnés
  • Accédez aux archives