C’est un refrain connu, qui revient comme une ritournelle: la Suisse connaît une forte pénurie de compétences techniques, de personnel de terrain capable de maîtriser les métiers concrets, et, plutôt que de multiplier les pistes universitaires, elle devrait renforcer la filière de l’apprentissage. Autrement dit, «il y a trop d’étudiants et pas assez d’apprentis», pour paraphraser un ancien conseiller fédéral par ailleurs patron d’entreprise.