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Sur Tinder et ailleurs, «même après #MeToo, les filles veulent encore des gars, des vrais»

A l’occasion des 10 ans de Tinder, notre chroniqueuse a eu une grande discussion avec Maximilien, 25 ans. «Mais en fait, les filles, elles veulent quoi?», se demande le jeune homme, perplexe

Lors d'une manifestation de la grève des femmes, le 14 juin 2021 à Lausanne. — © LAURENT GILLIERON / Keystone
Lors d'une manifestation de la grève des femmes, le 14 juin 2021 à Lausanne. — © LAURENT GILLIERON / Keystone

«Les filles, elles revendiquent publiquement l’égalité, le respect, l’écoute, etc. Mais, dans leur propre couple, elles finissent toujours par préférer le gars bien carré, bien classique, qui prend des décisions et leur impose son agenda.» Maximilien, 25 ans, beau gosse en dernière année de master, est perplexe. Une perplexité qu’il retrouve chez ses contemporains. «Tu prends Tinder, par exemple. Quand il y a un «match», c’est en général le garçon qui doit commencer à échanger. C’est rare que la fille entame la discussion. Pourquoi?»

Au-delà de la drague en ligne, Maximilien constate, avec exemples à l’appui, que «même les filles les plus féministes finissent avec des partenaires costauds, autoritaires, qui filent leur route, finalement assez peu attentifs aux besoins de leur copine».

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