«Les filles, elles revendiquent publiquement l’égalité, le respect, l’écoute, etc. Mais, dans leur propre couple, elles finissent toujours par préférer le gars bien carré, bien classique, qui prend des décisions et leur impose son agenda.» Maximilien, 25 ans, beau gosse en dernière année de master, est perplexe. Une perplexité qu’il retrouve chez ses contemporains. «Tu prends Tinder, par exemple. Quand il y a un «match», c’est en général le garçon qui doit commencer à échanger. C’est rare que la fille entame la discussion. Pourquoi?»