DDC et ONG: une décision étonnante, regrettable et contestable
Opinion
AbonnéOPINION. Le professeur de théologie François-Xavier Amherdt réplique à Patrizia Danzi, la directrice de la Direction du développement et de la coopération, sur l’utilisation des fonds publics dans les campagnes politiques

Dans une récente tribune publiée par Le Temps, Patrizia Danzi, la directrice de la Direction du développement et de la coopération (la DDC), l’organe du Département fédéral des Affaires étrangères (DFAE), chargé de la coopération internationale, se félicite de pouvoir compter sur le partenariat avec des associations d’entraide comme Pain pour le prochain (protestant) et Action de Carême (catholique) et bien d’autres, pour atteindre «ses objectifs ambitieux de développement durable, pilier essentiel de la coopération internationale de la Suisse». Grâce à elle, poursuit Patrizia Danzi, «l’action de la coopération au développement a un impact dans les pays partenaires, et elle est visible chez nous».