Il y a quelques semaines, comme d’autres, j’ai entendu la présidente du parti des Vert·e·s, au journal télévisé de la RTS, apporter sa caution au vandalisme de plusieurs golfs romands. Elle a expliqué en substance que si elle privilégiait la voie politique, elle comprenait que d’autres, des jeunes notamment, passent à une autre forme d’activisme climatique et que cela ne lui posait pas de problème tant que cela était, selon ses termes, «pacifique».