Publicité

A Zinal, la biodiversité ne doit pas faire les frais de la lutte pour le climat

OPINION. Alors que le Conseil des Etats examine les dispositions sur les débits résiduels pour augmenter la production d’énergie hydroélectrique, la biologiste du val d’Anniviers Lucie Wiget plaide pour le sauvetage des zones alluviales et de la biodiversité

Les Plats de la Lé, un écosytème mis en danger par des changements de la loi sur les débits résiduels.   — © WWF
Les Plats de la Lé, un écosytème mis en danger par des changements de la loi sur les débits résiduels. — © WWF

Comment survivre sans eau, nous qui sommes composés à 65% d’eau? La réponse est simple: c’est impossible!

Comme nous, les zones alluviales se meurent sans un débit adéquat. Elles ne représentent que 0,7% du territoire national. Pourtant, elles sont d’une richesse sans pareille, car plus de 80% des espèces végétales et animales indigènes y vivent et 10% en dépendent pour leur survie.

Cet article vous intéresse?

Ne manquez aucun de nos contenus publiés quotidiennement - abonnez-vous dès maintenant à partir de 9.- CHF le premier mois pour accéder à tous nos articles, dossiers, et analyses.

CONSULTER LES OFFRES

Les bonnes raisons de s’abonner au Temps:

  • Consultez tous les contenus en illimité sur le site et l’application mobile
  • Accédez à l’édition papier en version numérique avant 7 heures du matin
  • Bénéficiez de privilèges exclusifs réservés aux abonnés
  • Accédez aux archives