Désordre climatique, grand remplacement, menaces sur la liberté: les nouveaux territoires de la haine
Sur les chemins de la haine
AbonnéOPINION. Toute cette semaine, Charles Kleiber, fondateur de l’Association Disputons-nous, donne la parole à celles et à ceux qui veulent comprendre ce que nos haines, petites ou grandes, disent de nous-mêmes. Quatrième volet: l’avenir de la haine
Modifié jeudi 14 octobre 2021 à 17:15
Pendant une semaine, «Le Temps» offre son hospitalité à nos haines, les petites, les ordinaires, les dures, les sans pardon. Chaque jour, un questionnaire et une interview diront nos rapports à la haine et deux témoignages nous aideront à la comprendre. Le tout accompagné des dessins de Xavier Gorce et de ses pingouins.
Volets précédents:
La haine est vœu de mort. Elle chemine avec ses vieilles compagnes, la peur et la violence, prospère avec l’ignorance, flambe avec l’impuissance. Quand elle ne trouve pas d’issue, elle devient haine de soi et trouve sa place dans le noyau dur de la haine. Du haineux, elle cache le désarroi et la solitude.
