OPINION
AbonnéOPINION. Ce sont les mots de Julia Steinberger, professeure ordinaire sur les enjeux sociétaux liés à l’impact des changements climatiques à l’Institut de géographie et durabilité de la Faculté des géosciences et de l’environnement de l’Université de Lausanne, et auteure principale du 3e volet du 6e rapport du GIEC publié le mois dernier, écrit Frédéric Herman, recteur de l’Université de Lausanne

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