Au pays des banques, les dettes, c’est presque sacré. Les faillites à répétition pour les winners des start-up visionnaires, on laisse ça aux Américains. En Suisse, on a réussi quand on n’a pas de dettes ou qu’on les rembourse scrupuleusement. Mais qu’en est-il des personnes si endettées qu’un remboursement leur est impossible même en y employant le reste de leur vie?