Le mot de la liberté
AbonnéOPINION. Les subventions aux radios du service public français correspondent au chiffre d’affaires de tous les canaux privés. L’argent du contribuable ne finance pas la diversité des opinions: les idées sortant de la ligne y sont diffusées au compte-gouttes ou interdites

Chaque jeudi, notre journaliste clôt «Comment va la France?», la nouvelle newsletter du Temps, avec le point de vue d’un libéral suisse sur l’Hexagone.
La mainmise culturelle de la gauche sur les chaînes de service public françaises est enfin démasquée. Le Figaro Magazine a dénoncé dans son édition de samedi ce qu’un grand nombre de contribuables ne supportent plus: l’absence de diversité d’opinions au profit de la propagande de gauche. Dans une France de plus en plus à droite, le quatrième pouvoir traverse une double mutation. D’une part le service public est de plus en plus fermé aux idées qui ne sont pas de gauche. D’autre part, les éditorialistes de gauche qui dirigent ces médias se sentent assiégés et prennent peur face aux initiatives de groupes privés tels que celui de Vincent Bolloré.