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AbonnéOPINION. La tentative d’entartage de l’UDC Céline Amaudruz est la troisième agression par des activistes d’extrême gauche. La couardise de l’alma mater devant les radicaux devient problématique, soutient notre chroniqueuse

L’année commence bien. J’ai l’immense avantage de n’avoir pas été invitée par l’Université de Genève à venir pérorer sur un sujet ou un autre. L’eussé-je été, par hypothèse invraisemblable, que j’aurais probablement subi le traitement suivant: force invectives et joyeusetés crachées par une équipe d’activistes courageusement masqués avant une tentative de lancer de tarte à la figure. C’est ce qui est arrivé le 21 décembre à la conseillère nationale et vice-présidente de l’UDC suisse, Céline Amaudruz, venue assister à une joute oratoire sur la neutralité suisse organisée par deux associations étudiantes.