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Juul, quand l’addiction confine à l’absurde

La journaliste américaine Alice Gregory est tombée dans le panneau d’une cigarette électronique qui pourrait être suspendue aux Etats-Unis. Une addiction qui se pensait sans risque

A New York, septembre 2018. — © BRENDAN MCDERMID / REUTERS
A New York, septembre 2018. — © BRENDAN MCDERMID / REUTERS

Après une première semaine de débats consacrésà la justice internationale, cette semaine nous revenons sur les addictions, thématique coordonnée par la journaliste invitée Malka Gouzer.

Notre dossier sur ce thème: Addictions, entre ombres et plaisirs

En 2017, deux étudiants américains fraîchement diplômés et bientôt milliardaires ont lancé une nouvelle cigarette électronique sur le marché. Ressemblant à une clé USB et portant le nom d’un joyau, Juul a été commercialisée auprès d'adultes qui essaient d'arrêter de fumer et, bien que l'entreprise nie avoir voulu rendre des utilisateurs mineurs dépendants de leur produit, elle a acheté des espaces publicitaires sur des chaînes de télévision pour enfants et des applications de devoirs à domicile.

Je ne faisais pas partie des fumeurs voulant arrêter. Pas exactement.

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