Emmanuel Macron avait pris l’habitude, pour signifier son énervement devant l’enlisement de certaines de ses réformes avant la pandémie, de dénoncer «l’Etat profond». La Cour de justice de la République qui examine depuis le 19 janvier «l’affaire Karachi» devra pour sa part plonger dans une autre réalité: celle de «l’Etat souterrain».