OPINION
AbonnéOPINION. L’idée qu’un petit groupe de personnes déterminées et fanatisées puisse empêcher toute discussion est à l’opposé de l’Etat de droit et de la charte éthique de l’Université, écrit Alexandre de Senarclens, député PLR, à la suite de deux incidents à l’Université de Genève
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