Opinion
AbonnéUn dommage causé par des algorithmes peut être lourd de conséquences. Un projet de la Commission européenne prévoit d’introduire la notion de responsabilité objective, selon Nicolas Ollivier, avocat chez Lalive, et Louise Morand, titulaire d’un master de droit de l’Université de Fribourg

L’intelligence artificielle (IA) a bouleversé notre vie à bien des égards. Dans le secteur de la finance, cela s’est notamment traduit par l’arrivée depuis déjà longtemps de logiciels calculant des options complexes et plus récemment des «robo advisors», des algorithmes préprogrammés gérant un portefeuille de manière automatisée.