L’objet archéologique n’est pas une marchandise
OPINION
AbonnéOPINION. Les conflits et catastrophes naturelles provoquent souvent une recrudescence de pillages archéologiques. La vente de ces vestiges en Suisse et ailleurs en Europe est illicite, rappelle Jean-Yves Marin: le patrimoine doit être protégé

Des lois permettant de lutter contre le trafic illicite des biens culturels et de faciliter leur restitution à leurs légitimes propriétaires ont été adoptées ces vingt dernières années. Un long chemin a été parcouru dans le domaine de la protection et la conservation des vestiges matériels du passé. Mais il reste encore à faire.