Charivari
AbonnéIls sont gluants, poisseux. Et de plus en plus fréquents. Les glaviots jonchant nos trottoirs dégoûtent notre chroniqueuse qui supplie leurs auteurs d’arrêter de se prendre pour Cristiano Ronaldo

On les appelle aussi les glaviots, les mollards, les gluaux. Des noms assez laids pour un geste, cracher par terre son fond de gorge et/ou son fond de nez, qui n’est pas moins laid. Je ne sais pas vous, mais moi je n’en peux plus de devoir slalomer entre ces îlots baveux et répugnants qui parsèment nos trottoirs. Il y a plus grave en ce début d’année, je le concède, mais là, tout de suite, j’assume cette chronique terre à terre, à ras le bitume poissé ainsi que mon dégoût de cet acte puni par la loi et qui, pourtant, paraît de plus en plus décomplexé.